Fédération de Haute-Corse

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Le leader du PCF au cœur de l'insalubrité

le 16 décembre 2012

Le leader du PCF au cœur de l'insalubrité

Il en a certainement vu d'autres mais Pierre Laurent, Secrétaire national du PCF se souviendra de son passage à Marseille où il s'est plongé dans la dure réalité du quotidien des Roms, à Plombières, avant de visiter une des copropriétés les plus dégradées de la ville, "Maison Blanche" (14e).

Concernant les Roms, le chef de file du PCF a répété : "Il ne faut pas d'expulsion sans solution alternative. Et il faut sécuriser les endroits où vivent les Roms. Ensuite, il faut cesser de les chasser au bout de trois mois. Ce sont des citoyens européens qui ont des enfants scolarisés obligés de déménager en permanence, ce qui pose un vrai problème. Enfin, la France doit travailler avec l'Europe pour trouver une solution d'intégration durable."

Accompagné de Pierre Dharréville, Secrétaire départemental, Jean-Marc Coppola, Vice-Président de la Région et Houaria Hadj-Chikh, élu locale, Pierre Laurent s'est ensuite rendu à "Maison Blanche", une copropriété insalubre au Canet (14e) où il a eu l'occasion de s'entretenir avec des habitants.

Ascenseurs en panne, cages d'escalier sans entretien, infiltration, apparition fréquente de rats, manque de chauffage, trafics "importés" d'autres cités : le numéro 1 du PCF a eu droit à une longue litanie de plaintes.

C'est surtout contre les loyers prohibitifs qu'il a voulu s'élever. "Vos propriétaires sont en position de force, c'est vrai, mais la Confédération Nationale du Logement peut vous aider à les attaquer en justice. Vous ne pouvez pas rester dans cette situation. Vous avez des enfants et ils sont en danger."

La Provence, le 16 décembre 2012

Journée mondiale des migrants

le 16 décembre 2012

Journée mondiale des migrants

Manifestons contre une politique européenne meurtrière

et en faveur de profondes réformes en France

RASSEMBLEMENT à MARSEILLE MARDI 18 DECEMBRE

à 18h30 au métro Réformés

Un peu plus de six mois après l'élection de F. Hollande, que reste-t-il des espoirs de changements progressistes en matière de politique à l'égard des étrangers ? Sans fortes pressions populaires, il y a fort a parier que, pour l'essentiel, le gouvernement ne modifiera rien ou presque de la réglementation nationale xénophobe peaufinée par la droite au cours des dix dernières années et que, à l'échelle de l'Union européenne, il s'accommode d'une stratégie homicide de fermeture des frontières qui a déjà tué de l'ordre de 13 000 personnes entre 1988 et 2012 dans la seule Méditerranée.

De même que l'obsession de « scores » présentés comme flatteurs dans le domaine des expulsions et des enfermements, ces milliers de vies perdues donnent la mesure du cynisme des États de l'Europe qui, pour éviter tout partage de leur richesse et de droits fondamentaux en principe moins bafoués qu'ailleurs, mènent désormais une véritable guerre aux migrants, avec les conséquences liées à toute guerre : des milliers de morts et de blessés.

Dans un pareil contexte, la Journée internationale des migrants, ce 18 décembre 2012, peut être l'occasion de secouer l'immobilisme et, à travers l'expression massive d'une indignation contre cette tuerie, exiger des changements enfin fondamentaux des politiques migratoires, à commencer par celle de la France.

Pour ce changement de regard sur l'immigration, pour des réformes urgentes...

Droit de vote des résidents étrangers dès 2014. Signez et faites signer la pétition

le 14 décembre 2012

Droit de vote des résidents étrangers dès 2014. Signez et faites signer la pétition

Pour une République ouverte et fraternelle

Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République.

Si, en 1793, lors de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en œuvre par la IIe République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.

En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.

En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une pro- position de loi accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même proposition. Il reste à mettre en œuvre la révision constitutionnelle nécessaire.

De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.

En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.

Près de deux millions et demi d’étranger(e)s extracommunautaires vivent et travaillent dans des communes où elles/ils participent à la vie locale et paient des impôts. Nombre d’entre elles/eux sont responsables d’associations, délégué(e)s de parents d’élèves, délégué(e)s syndicaux(cales)...

La vie locale est un lieu essentiel de la vie démocratique et il n’existe aucune raison pour que toutes celles et tous ceux qui résident sur ces territoires n’y participent pas de façon égale. Il est temps de franchir une nouvelle étape pour l’élargissement du suffrage universel, la démocratie, la cohésion sociale et pour l’égalité des droits.

Les promesses électorales faites depuis plus de trente ans, approuvées par les électeurs(trices) à au moins quatre reprises, depuis 1981, doivent maintenant être tenues.

Nous appelons à la mobilisation citoyenne pour que cette réforme, essentielle pour une République ouverte et fraternelle, soit mise en oeuvre dès les élections municipales de 2014.

Signez et faites signer la pétition --> www.droitdevote2014.org

Des millions d'européens ont basculé dans la pauvreté

le 12 décembre 2012

Des millions d'européens ont basculé dans la pauvreté

Le Parti Communiste Français a estimé que « la volonté affichée ne sert pas à grand chose si les moyens ne sont pas au rendez-vous ». « Il faut » néanmoins « se féliciter de la volonté affichée par le gouvernement de vouloir combattre ce fléau qu'est la pauvreté qui touche maintenant un Français sur huit », souligne le PCF. Pour cette composante du Front de Gauche, il aurait fallu plus de moyens car « une réelle rupture aurait été de se fixer comme objectif d'augmenter le cumul des minima sociaux au dessus du seuil de pauvreté, soit 950 euros par mois. On ne combat pas la misère en maintenant des millions de personnes sous le seuil de pauvreté », estime le Parti de Pierre Laurent.

La Marseillaise, le 12 décembre 2012

Expulsion de familles Roms a Marseille. Communiqué de Jean-Marc Coppola

le 09 décembre 2012

Expulsion de familles Roms a Marseille. Communiqué de Jean-Marc Coppola

Je partage les nombreux messages qui expriment la désapprobation voire la condamnation de l’évacuation des familles Roms du 23, chemin des Tuileries dans la soirée du 7 décembre, au moment ou le froid et le mistral s'abattaient sur la ville.

C'est la colère qui l'emporte quant a la méthode employée.

En effet que le lieu ou campaient les familles avec de nombreux enfants présente un grand risque pour leur sécurité est un fait.

Mais alors pourquoi attendre un vendredi soir pour chasser une centaine de personnes ?

Personne ne peut croire que le rapport d'un cabinet "indépendant" decretant le grand danger soit arrive un vendredi soir.

Personne ne peut croire que l'arrêté d'expulsion ait ete réfléchi et décidé a la hate ce même vendredi soir pour exécution immédiate.

Une fois de plus Marseille se distingue et pas de la meilleure des façons.

A croire que le Maire de la 2eme ville de France ait trouve la fin de semaine trop positive avec des policiers qui se sont distingués de façon exemplaire dans l'exercice de leur métier en arrêtant des voyous. 

Cette décision d'expulsion et sa mise en oeuvre soulèvent une série de questions.

  1. Pourquoi la Prefecture a suivi la décision de la Ville alors que les conditions de relogement dans un gymnase sont précaires et provisoires jusqu a lundi 10 au matin ?
  2. Pourquoi la circulaire interministérielle du 26 août 2012, prévoyant "des dispositions concrètes quant a l'anticipation et l'accompagnement des évacuations de campements illicites" n'est pas respectée ?
  3. Qu'envisagent la Mairie de Marseille et la Prefecture a partir de lundi 10 pour que ces familles retrouvent un toit digne de ce nom comme la circulaire le prévoit ?

Je saisis donc le Prefet en charge de la délégation interministérielle a l'hébergement et a l'accès au logement (DIHAL), récemment nomme par le Premier Ministre. 

Je demande au Prefet en charge de la Dihal de saisir le Ministère de l'Interieur sur le non respect de la circulaire interministérielle et afin qu'il intime a la ville de Marseille de respecter la loi.

On ne peut pas demander a tous les citoyens de respecter la loi et ne rien dire ou ne rien faire quand le magistrat, parlementaire, de la 2eme ville de France s'assoit sur le droit français et sur la loi française, même quand il ne la vote pas.

Il y a urgence et si le danger était grave et imminent dans l'hébergement de St Antoine, il l'est tout autant a partir du 10 quand ces familles seront a la rue.

Il y aurait alors non assistance a personnes et enfants en danger.

Je demande une table ronde d'urgence sous l'égide de la Prefecture afin d'examiner et de trouver des solutions adaptées et durables.

Jean-Marc Coppola
Vice-président du Conseil Régional
Délégué aux Lycées, Patrimoine, Investissements Régionaux

Droit de vote des étrangers. La malédiction

le 18 novembre 2012

Droit de vote des étrangers. La malédiction

Le droit de vote pour les étrangers aux élections locales fait partie des victimes du virage opéré par F. Hollande. Est-ce un hasard si l'abandon de cet engagement présidentiel accompagne la ratification du traité européen, le choix d'un budget d'austérité, celui d'un pacte de compétitivité d'inspiration patronale.

Tout se passe comme si le « compromis historique » prenait les allures d'une bérézina face au MEDEF, à la droite et même à l'extrême droite. Cela fait très mal d'entendre le porte-parole de Marine Le Pen et de l'UMP E. Ciotti se réjouir de la décision présidentielle de renvoyer aux calendes grecques l'idée d'accorder aux étrangers le droit de vote. C'est la 3ème fois en 30 ans que le parti socialiste, après l'avoir inscrit dans son programme se déjuge sitôt arrivé aux affaires. Nous savons bien, à gauche, que l'on ne perd que les combats que l'on ne mène pas.

Le « courage fuyons » de F. Hollande face à la mobilisation des droites est de la même veine que celui opéré face aux dictats des marchés financiers. Là aussi il s'agit d'un recul en termes de projet politique: celui qui fait de l'émancipation humaine, du vivre ensemble et de l'ouverture aux autres, l'apha et l'oméga d'une vision progressiste du monde. C'est sur cette base que la révolution française avait proclamé la supériorité du droit du sol sur celui du sang.

Les arguments ne manquent pas pour affronter, lors d'un référendum, les droites unies contre un, droit reconnu désormais, dans la majorité des pays européens ; les citoyens de l'UE sont déjà autorisés à participer à nos scrutins locaux. Pourquoi donc le refuser aux autres sinon par racisme, xénophobie encore disons le mot par islamophobie ? La France doit beaucoup à ses immigrations : démographiquement c'est grâce à elles que nous avons un solde positif. Economiquement, outre les richesses produites par leur travail, les immigrés rapportent à l'Etat. L'Express vient de découvrir ce que tous les économistes savent : la différence entre prestations sociales accordées aux étrangers et fiscalité payée par eux est de 12 milliards au profit de l'État.

Culturellement, qui peut nier l'apport des générations issues des dernières migrations dans la création artistique, le sport ou encore la gastronomie.

Comment donc refuser aux parents de ces nouvelles générations de français le droit de s'exprimer localement ? Quel signal la République leur adresse quand on sait que leurs enfants subissent la double peine de la crise et des discriminations liées à leurs origines ?

Une reconnaissance sociale, culturelle et politique de ces « français de préférence » pour reprendre la formule d'Aragon dans l'Affiche rouge, constituerait un formidable atout pour notre jeunesse et pour notre pays.

Je dis les choses comme je les ai ressenties : le propos pitoyablement politicien du Président de la République sur cette question m'a profondément heurté. Mais refusant la malédiction qui nous hante, je suis prêt avec d'autres à continuer le combat. J'en appelle à toutes les femmes et à tous les hommes de cœur y compris les militants socialistes à qui j'ai envie de dire parodiant le Marquis de Sade « encore un effort pour être de gauche ».

La Marseillaise, le 17 novembre 2012

Solidarité. Le PCF inquiet

le 17 novembre 2012

Solidarité. Le PCF inquiet

Menace sur le Plan européen d'aide aux plus démunis.

La Sénatrice communiste Michelle Demessine a demandé hier au gouvernement qu'« une solution d'urgence » soit trouvée pour la pérennisation du Plan européen d'aide aux plus démunis (PEAD) dans le cadre du budget européen 2014-2020. « Si rien n'est fait, d'ici le prochain conseil européen, ce programme ne sera plus financé à partir du 1er janvier 2014 », rappelle la Sénatrice dans un courrier à la Ministre de la Lutte contre l'exclusion Marie-Arlette Carlotti.

« Alors qu'en France le PEAD finance un tiers de l'aide alimentaire, cela placerait les associations caritatives dans une situation délicate et les contraindrait à laisser pour compte une partie des 4 millions de Français qu'elles secourent », assure la Sénatrice du Nord qui fut Secrétaire d'Etat au Tourisme dans le gouvernement Jospin.

« Si l'Union Européenne et ses États membres ont été capables de débloquer des sommes astronomiques pour sauver des banques rongées par la spéculation, ils ne peuvent rester inertes face à la détresse de ceux qui sont exposés à la faim », lance-t-elle. Le gouvernement s'est toutefois engagé début octobre à défendre ce plan qui finance l'aide alimentaire apportée à 18 millions d'Européens pauvres.

La Marseillaise, le 17 novembre 2012

Rassemblement pour l'égalité. Mariage et famille pour toutes et tous

le 12 novembre 2012

Rassemblement pour l'égalité. Mariage et famille pour toutes et tous
Devant la Mairie
Quai du Port
13001 - Marseille

Samedi 17 novembre à 15h

Depuis que le gouvernement a fait part de son projet d’avancer sur la question de l’ouverture du mariage et de l’adoption à tous les couples, des groupuscules traditionalistes et réactionnaires s’emparent de la question et défendent une conception « naturelle » de la famille.

Ces groupes sont, rappelons-le, les mêmes qui s’étaient opposés à la création du PACS en 1999, ainsi qu’à toutes les avancées réalisées pour les droits des femmes (contraception, IVG, etc.). Face à eux, le gouvernement recule, cède du terrain en réduisant son projet de loi à un minimum, et laisse en friche un sujet sociétal pourtant porteur non pas du droit de quelques uns à pouvoir se marier, mais bien de l’égalité de tous dans la République et la citoyenneté.

Ceci ne correspond pas à notre conception de la démocratie et à notre projet de société. Nous souhaitons une société laïque, qui permette avant tout l’émancipation de toutes et tous, quels que soient leur orientation sexuelle ou leur identité de genre.

C’est pourquoi nous considérons que ces propositions doivent aller plus loin, vers la reconnaissance réelle non d’un droit au mariage civil, mais de l’existence de nouvelles formes de famille (homoparentale, mais aussi monoparentale ou recomposée), chacune de dignité égale et qui doivent être reconnues dans le droit.

En ce sens, nous souhaitons également la reconnaissance du tiers parent, l’accès à la Procréation Médicalement Assistée (PMA) pour les couples homosexuels féminins, ainsi que l’égalisation des droits sociaux et professionnels (congé parental, rapprochement familial) à toutes les familles, quelle que soit leur forme.

Notre Députée Marie-George Buffet a elle-même porté des propositions de loi en ce sens. Nous ne pouvons laisser quelques groupes hostiles au changement dicter aux Français, pourtant favorables à la question, ce que leur société doit être ou ce contre quoi elle doit se prémunir. Or, ceux-ci se mobilisent et organisent le dimanche 18 novembre des manifestations importantes dans 3 villes de France, dont Marseille.

Nous devons nous mobiliser !

Nous t’invitons donc à te joindre au rassemblement regroupant des partis politiques, mais aussi des associations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuelles et Trans) de tout PACA.

Roms. Appel à réquisition citoyenne

le 11 novembre 2012

Roms. Appel à réquisition citoyenne

Appel à toute personne sensibilisée par le sort insupportable fait aux familles Rroms forcées de dormir dans la rue.

Devant la paroisse de la Belle de Mai
3, bd de la Révolution
13003 - Marseille

Lundi 12 novembre à 6h du matin

POUR UN ACTE POLITIQUE FORT

Cette opération nous mobilisera toute la matinée. Nous devons être très nombreux pour montrer notre refus de la politique capitaliste anti-pauvres pour laquelle Marseille donne l'exemple honteux.

Appel de : ATTAC, CCFD, Collectif Solidarité Rroms de Marseille, Compagnons d'Emmaüs, EELV, LDH, MRC, NPA, Parti de Gauche, PCF, Pastorale des Migrants, Rencontres Tsiganes, les familles Rroms, les habitants de la Belle de Mai...

Roms. Marion Honde interpelle Hollande

le 09 novembre 2012

Roms. Marion Honde interpelle Hollande

La Conseillère Municipale (PCF) soutient une famille sans logement.

Sensible à la situation dramatique d'une famille rom originaire du Kosovo et restée sans logement, la Conseillère Municipale communiste Marion Honde interpelle François Hollande dans un courrier du 31 octobre. Non pas que la situation de ce couple et de leurs cinq enfants soit exceptionnelle mais c'est bien plutôt l'attitude des services préfectoraux qui heurte particulièrement l'élue PCF des 13e et 14e arrondissements. Un mouvement de soutien venant de parents d'élèves et d'enseignants de l'école Emile-Vayssière, dans le 14e arrondissement de Marseille, s'est constitué autour de cette famille et après plusieurs courriers sans réponse, le Conseil d'école décide d'envoyer une délégation en Préfecture afin d'obtenir un rendez-vous destiné à dégager des solutions.

« Ce qui ne nous aurait pas surpris sous la mandature précédente, nous heurte aujourd'hui profondément », écrit Marion Honde, « les services préfectoraux refusent, encore à l'heure actuelle, de nous recevoir. » Face à ce mépris, le sang de l'élue de la République n'a fait qu'un tour. En conséquence, elle demande au Président Hollande de « tout mettre en œuvre pour trouver des solutions dignes et humaines ».

La Marseillaise, le 9 novembre 2012

 
 
 
 
 
 
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