Fédération de Haute-Corse

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Accueil

"Ceux qu'on appelle les Roms"

le 25 September 2013

Après les dernières déclarations scandaleuses du ministre de l'Intérieur sur les Roms, il est temps de tordre le coup aux stéréotypes et préjugés qui frappent cette population pour justifier une politique honteusement discriminatoire à son égard.

Homophobie. « Accentuer la pression à l'approche des jeux olympiques »

le 14 September 2013

Homophobie. « Accentuer la pression à l'approche des jeux olympiques »

Militants LGTB et Partis du Front de Gauche ont protesté hier devant le consulat de Russie.

La Marseillaise, le 14 septembre 2013

Soutien aux citoyen-ne-s LGBT de Russie

le 11 September 2013

Soutien aux citoyen-ne-s LGBT de Russie
Devant le Consulat de Russie
Square Monticelli
13008 - Marseille

Vendredi 13 septembre à 18h

Gardanne. "Les Roms ont les mêmes droits et les mêmes devoirs"

le 06 September 2013

Gardanne.

Le "Préfet des Roms" était en visite à Gardanne hier. Réunion en Mairie et visite du Puits Z pour faire le point sur l'accueil de 12 familles par la Mairie.

La Provence, le 6 septembre 2013

Gardanne. Pour le « Préfet des Roms », Gardanne a fait le bon choix

le 06 September 2013

Gardanne. Pour le « Préfet des Roms », Gardanne a fait le bon choix

Le Préfet Alain Régnier était en visite hier matin à Gardanne, pour rencontrer les élus, mais aussi les résidents du Puits Z.

Il se serait sans doute bien passé de ce sobriquet -car les responsabilités que lui a confiées le Premier Ministre vont au delà de cette seule problématique- mais c'est ainsi qu'il est désormais désigné : « le Préfet des Roms ». Alain Régnier prend sa mission à coeur (il est en charge de la Délégation interministérielle à l'hébergement et à l'accès au logement des personnes sans abri ou mal logées). Et tant pis s'il doit parfois mettre certains citoyens de son pays devant leur propre inhumanité : « La France est assez singulière dans sa xénophobie. Les Roms sont seulement 20.000 sur notre territoire, et ces 20.000 personnes provoquent bien malgré elles des réactions d'une violence préoccupante ». Face à lui hier à l'Hôtel de Ville, le Maire PCF Roger Meï et une partie de son équipe, ainsi que le Député EELV François-Michel Lambert. Les deux élus, qui ont eu maille à partir quand le parlementaire était encore membre de l'opposition municipale, sont -une fois n'est pas coutume- sur la même longueur d'onde. Il y a un an, lorsque Roger Meï a décidé d'installer sur le Puits Z 12 familles Roms, l'opposition s'était fendue d'un édito dans le bulletin municipal, faisant état de son scepticisme quant à l'arrivée de ces nouveaux résidents. Une tribune de laquelle le Député s'était désolidarisé, affirmant ainsi son soutien à l'action municipale. C'est donc ensemble que les deux élus se sont rendus au Puits Z pour accompagner le Préfet, entourés des responsables associatifs qui, il y a un an, se sont constitués en collectif pour mieux accompagner les familles -essentiellement les enfants.

Les mesures transitoires levées en janvier 2014

Au Puits Z, les familles ont déjà préparé le café, les boissons fraîches et les biscuits. Le terrain est propre, des rochers ont été alignés pour tracer les limites d'un parking. L'ambiance est plus calme qu'à l'accoutumée. Et puis on se souvient qu'en ce jour de rentrée, les enfants sont en classe -seuls les tout petits sont là. Les résidents connaissent bien le Maire et le Député, ainsi que le chef de la police, Christian Hue, présent quotidiennement pour s'assurer que la charte de bonne conduite signée par les Roms, est bien respectée. En cas d'entorse, la fermeté est de mise. Comme le rappelle le Maire, la meilleure façon de gérer l'accueil des familles, c'est d'en maîtriser le nombre. « Il y a quelques mois, d'autres Roms sont venus sur le camp. Nous les avons fait expulser ». Gardanne est la seule commune du département à appliquer la circulaire interministérielle portant sur les solutions d'accompagnement des familles. Un exemple encore peu suivi, donc, même si d'autres tentent d'ouvrir la voie à de nouveaux modèles d'intégration, comme Lille, Nantes ou Strasbourg. Au Puits Z, Alain Régnier questionne les principaux intéressés : « Avez-vous construit des relations avec des habitants ? ». Échanges de regards, légers sourires, haussements d'épaules. Visiblement, de ce côté là, ça n'est pas encore gagné. « Pourquoi êtes-vous venus ici ? ». Cette fois, les mots ne manquent pas : « On veut que nos enfants puissent aller à l'école. Et on veut obtenir le papier qui" nous permettra de trouver du travail » répond une jeune femme. Cette autorisation, elle l'obtiendra peut-étre en janvier 2014, date à laquelle seront levées les mesures transitoires qui interdisaient aux Roms l'accès au travail. Le Maire entend bien camper sur ses positions et miser sur une sensibilisation payante auprès de ses administrés. Le Député François-Michel Lambert, de son côté, affirme : « Il faut que les Maires s'engagent, et bien avant les municipales. Car d'ici là, l'hiver va arriver et beaucoup de gens vont souffrir ». Alain Régnier a promis, quant à lui, que l'État continuerait à aider financièrement la commune. Gardanne, pour accueillir les familles du Puits Z, bénéficie également des subventions de l'Europe, et des Conseils Régional et Général.

Sabrina Guintini (La Marseillaise, le 6 septembre 2013)

« La politique des petits pas »

Avant d'aller à la rencontre des familles au Puits Z, le Préfet Alain Régnier a échangé avec les différents acteurs du dossier « Roms » à Gardanne : élus locaux, mais aussi responsables associatifs -lesquels mènent un travail de terrain que le Maire a une fois de plus loué. Pour le Préfet, la municipalité a fait le bon choix, même si la bataille la plus rude, celle de l'opinion, n'est pas encore gagnée. Alain Régnier, à plusieurs reprises dans ses propos, insiste sur le chiffre : 20.000 Roms circulent en France -le verbe est d'ailleurs inapproprié, car comme il le rappelle : « beaucoup d'amalgames sont faits entre les gens du voyage et les Roms, qui eux, veulent se sédentariser ». Migrants contre leur gré, dans un pays qui ne voit qu'eux, alors qu'ils ne sont que 20.000, donc, faisant de la France l'une des nations qui « accueillent » le moins de Roms en Europe. « Les faire accepter est un enjeu démocratique majeur si on ne veut pas revivre des dérives que notre pays a déjà connues. Cette haine, ce rejet… c'est très préoccupant. Comme si les Roms étaient un virus ». Difficile pour le Préfet de mener à bien sa mission -qui consiste en partie à faire tomber les a priori, à « déconstruire les représentations », comme il le dit. Il faut dire que les Français ont le préjugé tenace… « Les Roms ne sont pas génétiquement voleurs. Ils ne sont pas génétiquement ferrailleurs. Mais comment travailler l'opinion pour sortir de ces représentations ? » Pas facile, quand le travail mené se heurte à une politique d'expulsion qui depuis Sarkozy et le discours de Grenoble -qui a commis des dommages préjudiciables dans l'opinion publique- semble perdurer malgré le changement de gouvernement. « Sarkozy n'avait pas osé passer à l'acte, vous, vous allez plus loin que lui » n'avait pas hésité à lancer Roger Meï à Manuel Valls lors d'une visite du Ministre de l'Intérieur à Gardanne. Est-ce là que le bât blesse ? « Je me heurte à des difficultés dues à des tensions ministérielles » admet le Préfet, « les populations sont souvent brusquement déplacées, ce qui freine tout le travail qu'on essaie de faire sur le terrain. C'est une politique des petits pas… » Mais Alain Régnier veut rester optimiste : « Mon objectif : faire en sorte que les enfants Roms d'aujourd'hui soient des citoyens comme les autres à leur majorité. Ça ne se réglera pas d'un coup de baguette magique. Mais on y arrivera ».

Accueil des étrangers. La décision lapidaire du tribunal

le 06 August 2013

Accueil des étrangers. La décision lapidaire du tribunal

Justice. Une requête en référé pour un accueil digne des étrangers rejetée.

La Marseillaise, le 6 août 2013

Roms de Marseille. Communiqué de Jean-Marc Coppola

le 01 August 2013

Roms de Marseille. Communiqué de Jean-Marc Coppola

Marseille, le 1er août 2013

Messieurs les Maire, Préfet, Ministre, la vie d’un enfant Rom ne vaut-elle rien pour vous ?

Le 23 juillet dernier, les pouvoirs publics ont consciemment brisé le processus d’insertion et de stabilisation de 180 personnes parce qu’elles sont Roms. Pourtant, ces familles vivaient depuis le mois de novembre dans des conditions certes insatisfaisantes mais plus dignes que celles qui leur sont infligées aujourd’hui par la justice de notre pays, encouragée par l’État et la Ville de Marseille.

Alors qu’on nous rebat les oreilles avec l’horrible mot « intégration », c’est la République elle-même qui jette des citoyens européens dans l’errance, les condamnant à un mode de vie humiliant voire indécent qu’ils n’ont pas choisi.

Ce sont bien les autorités françaises qui mettent en danger ces dizaines d’hommes âgés, de femmes enceintes, de nourrissons et autres enfants en bas âge, les privant de toit, de suivi médical, de scolarisation.

Ce sont les pouvoirs publics qui offrent à la vindicte démagogique et parfois raciste ces humains dans la misère, en quête d’une simple solidarité.

La Préfecture et le gouvernement ont beau se cacher derrière la circulaire interministérielle du 26 août, peu de voix officielles et médiatiques ont le courage de dénoncer sa non application.

En fait, c’est tout simplement la France qui broie et déshumanise des vies. Sous Hollande comme sous Sarkozy.

Le sort réservé aux familles Roms est une atteinte à toute l’humanité. Il ne faut même plus parler de non-assistance à personnes en danger, ces expulsions pouvant être qualifiées de mises en danger volontaires d'autrui.

Si de telles décisions de justice se poursuivent, Marseille sera volontairement transformée en jungle urbaine où règneront la guerre des pauvres et ses milices à bouc-émissaires.

C’est pourquoi je participe activement à la mobilisation citoyenne des collectifs de soutien aux familles Roms et continuerai de relayer à qui de droit notre juste combat.

Je demande une nouvelle fois à l’ensemble des collectivités locales et à l’État de prendre des mesures d’urgence pour assurer la sécurité et la dignité de ces familles en permanence harcelées.

Jean-Marc Coppola
Vice-président de la Région PACA
Conseiller municipal de Marseille

Étrangement accueillis

le 24 juillet 2013

Étrangement accueillis

Un référé suspension plaidé hier pour une amélioration de l'accueil des étrangers rue Saint Sébastien.

La Marseillaise, le 24 juillet 2013

Roms. Expulsion à Plombières

le 24 juillet 2013

Roms. Expulsion à Plombières

Les familles installées dans l'ancienne caserne de gendarmerie ont été évacuées hier matin. Elles ont été rassemblées dans un parc à proximité.

« On nous dit de dégager à l'église, dans la rue, ici, "dégagez, dégagez", c'est pas bon comme ça… » Au milieu de la foule venue protester contre l'expulsion des Roms installés depuis novembre 2012 au 91, boulevard de
Plombières, Helena est abattue. Face à Marie Lajus, Préfet délégué pour l'Egalité des chances, la jeune femme demande des explications et des solutions. « On vient ici parce que en Roumanie, pas de travail, pas de maison. Comment on fait ? On doit retourner là-bas et laisser les enfants mourir ? », poursuit la mère de famille. « La France n'a pas non plus les moyens de vous offrir des maisons… », répond Marie Lajus. A peine sa phrase terminée, des « mensonges ! » criés par les personnes rassemblées autour des deux femmes fusent.

Pour Jean-Marc Coppola, Vice Président (Front de Gauche) de la Région Paca, présent sur place, l'action menée relève de la « non assistance à personne en danger ».

Tôt hier matin, la sécurité publique s'est rendue sur place pour évacuer la trentaine de personnes restantes du bâtiment appartenant à l'État.

« Nous avons essayé d'aider une partie des familles à partir hier soir, pour les installer sur d'autres terrains… sans rien », déplore Jean-Marc Bremond, du Collectif de Solidarité avec les Rroms de Marseille. Avant de poursuivre : « La Ministre Cécile Duflot encourage le recours aux réquisitions citoyennes. Mais à côté de ça en déloge les Roms installés grâce à ce moyen pour reconstruire par dessus. On se retrouve constamment face à un double discours. Si nous sommes présents c'est aussi pour pousser un cri d'alerte face à ce problème social et sociétal. On chasse les gens dans l'indifférence la plus totale et on les humilie… »

Des propos que soutient Jean-Marc Coppola : « Les droits des personnes expulsées ce matin sont piétinés. En principe on ne peut pas expulser des gens si aucune solution alternative n'est proposée, or il n'y en a aucune aujourd'hui ! Je n'encourage pas les bidonvilles, il faut trouver des solutions comme à Gardanne par exemple ».

Un projet immobilier

De l'autre côté de la barrière humaine dressée par la sécurité publique, un débat animé se tient entre riverains et quelques membres d'associations. « Bien sûr que je suis contente qu'ils partent. Je vis à côté de l'ancienne caserne et j'ai ce spectacle sous les yeux depuis novembre. Depuis leur nombre n'a cessé d'augmenter ! Demandez aux gens qui vivent ici et qui n'arrivaient pas à dormir à cause du bruit de leur ferraille, de la fumée noire… On vivait dans des conditions épouvantables ! », s'énerve Michelle, rapidement tempérée par Xavier Blanc, du Secours Catholique venu sur place pour soutenir les autres associations, « Le fond du problème madame, c'est cette forme de haine injustifiée… »

A l'origine de cette expulsion, un projet immobilier. Le bâtiment abritant les familles sera détruit. A la place, le constructeur Nexity y construira 250 logements, « dont la moitié seront des logements sociaux », précise Marie Lajus. « Certaines familles pourront d'ailleurs y loger. Pour cela il faut jouer le jeu, et ça passe notamment par la scolarisation des enfants. C'est pourquoi nous avons une personne référente dans l'Éducation nationale qui favorise leur insertion. Pour le moment une famille seulement s'est engagée dans cette démarche ».

En lien avec le Samu Social municipal, une solution d'hébergement d'urgence pour les personnes les plus fragiles a été mise en place. Les autres habitants ont pour le moment été déplacés dans un pare à proximité pour une durée limitée.

Elisa Philippot (La Marseillaise, le 24 juillet 2013)

Emmaus devrait être remboursé

« Nous nous sommes engagés à rembourser l'argent avancé par Emmaüs, nous attendons les factures », assure Marie Lajus, Préfet délégué pour l'Egalité des chances. « La sécurisation des lieux était la condition posée à la Préfecture pour que les familles puissent s'installer. C'est pourquoi nous avons fait l'avance des frais. France Domaine a laissé entendre qu'il l'avait financé, alors que nous n'avions pas été remboursés », confie Anne Issier, responsable d'Emmaüs Saint-Marcel. Un montant avoisinant les 10.000 euros au total.

« Nous devions à l'époque signer une convention entretien travaux. il va maintenant falloir trouver une solution rapidement. Mais la vraie problématique reste les expulsions de Roms. La prochaine à la Capelette devrait encore envoyer dans la rue près de 400 personnes ».

Nouvelle croisade contre les files d'attente de la honte

le 24 juillet 2013

Nouvelle croisade contre les files d'attente de la honte

La justice est encore saisie pour dénoncer l'organisation du service des étrangers.

Des nuits devant les grilles de la Préfecture, certains ont dû en passer deux, trois voire quatre… pour espérer décrocher le fameux sésame : le ticket ! "Si t'arrives à 6 heures, t'es mort. Jamais tu l'as, le ticket", confiait à La Provence, en mai 2006, un de ces naufragés de la rue Saint-Sébastien, après être resté des heures le nez collé à la vitre, au milieu de femmes enceintes au bord du malaise, de personnes âgées écrasées, de hurlements et de crises de nerfs. Tous espéraient déposer leur demande de régularisation ou renouvellement de carte de séjour. Sept ans plus tard, alors qu'une réflexion sur l'organisation de l'accueil était en cours, selon la préfecture, rien ou presque n'a changé.

Quatre associations -le Gisti, la Cimade, les Amoureux du ban public et l'association des juristes pour la reconnaissance des droits fondamentaux des immigrés- livrent depuis des années une croisade "contre ces queues de la honte devant le service des étrangers". Leur cible ? La Préfecture qui, selon elles, porte atteinte au respect de la dignité humaine, en soumettant à ses guichets, les étrangers à des conditions d'attente "dégradantes, indignes voire préjudiciables à leur santé".

En mai dernier, leurs conseils, Me Clément Dalançon et Me Philippe Pérollier, introduisaient, auprès du tribunal administratif, une requête en référé demandant au juge d'obliger le Préfet à remédier à cette situation honteuse. Selon eux 10 à 15 tickets par jour, seulement, étaient délivrés par le service. Ce qui obligeait tous les autres à revenir… et à refaire la queue des heures, voire des jours et des nuits. Un juteux trafic de… tickets, vendus 50 à 100€ pièce, aurait même vu le jour ! Dans leur requête, les avocats réclamaient donc l'ouverture de guichets dans les sous-Préfectures du département afin de désengorger la rue Saint-Sébastien, la remise d'une convocation dans un délai raisonnable et la mise en ligne des formulaires de demande de titres de séjour. Mais le 19 juin dernier, le Président du Tribunal Administratif rejetait la requête. Ce qui a conduit les associations, hier, à introduire en urgence, auprès du juge des référés du tribunal administratif, une nouvelle requête, cette fois "en annulation des décisions".

"Non seulement ces délais d'attente ont une incidence néfaste sur le travail des fonctionnaires mais ils provoquent aussi des nuisances pour les riverains de la rue Saint-Sébastien", a tenté Maître Dalançon. "Le Préfet vient nous dire qu'il ne faut pas violer la loi. C'est se moquer du monde. Du tribunal même ! En réalité, le Préfet insinue que les associations, la presse… sont victimes d'une hallucination. C'est pitoyable !", a dénoncé Maître Pérollier en regrettant que "le ticket soit la pièce centrale de l'organisation de l'accueil des étrangers en Préfecture". "Il est évident qu'il y a une volonté d'organiser les choses de cette manière-là !", enfonce-t-il le clou en pointant "la violation du principe d'égalité et de continuité du Service Public".

Du côté de la Préfecture, qui demande sans surprise le rejet de la requête, on reste droit dans ses bottes et on tente de justifier cette longue attente par "un minutieux travail de conseil fait au guichet afin d'obtenir le plus de renseignements possible pour éclairer au mieux l'examen des dossiers". Et d'assurer que depuis 2007, les choses vont nettement mieux, puisque désormais "on oriente les étrangers en fonction de leur demande et, éventuellement, on les fait asseoir en attendant leur tour…" La décision est attendue aujourd'hui.

L. Sariroglou (La Provence, le 24 juillet 2013)

 
 
 
 
 
 
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